Un marathon de la pâtisserie était organisé ce matin à l’Institut Saint-Louis de Waremme. 600 élèves se sont relayés aux fourneaux pour concocter des sucreries et gâter les enfants hospitalisés à l’occasion des fêtes. Cookies, massepains, spéculoos, crêpes, et bien d’autres recettes ont été réalisées ce vendredi pour la bonne cause.

Le premier marathon de la pâtisserie était organisé ce vendredi à l’Institut Saint Louis à Waremme. Objectif concocter un maximum de douceurs pour les enfants hospitalisés. C’est un professeur de l’école qui a initié le mouvement et ce sont aujourd’hui 600 élèves qui vont se relayer toute la journée en cuisine.

« La plupart des élèves n'ont jamais mis les pieds dans la cuisine. Pour beaucoup, c'est la première fois qu'ils cuisinent des pâtisseries et je pense qu'ils étaient plutôt portés par le projet. L'idée de faire plaisir aux enfants et pour la plupart, c'est une première fois. Mais je pense que c'était accueilli avec plaisir », commente Marine Sbardella, professeur à l’origine du marathon.

8 ateliers ont été répartis dans l’école en fonction des pâtisseries. Une grande tournante a été organisée avec au total près de 1.000 passages en cuisine. Les ingrédients proviennent de dons et les recettes sont celles des professeurs. Il y a une grande émulation dans toute l’école.

L’initiative a rencontré un beau succès et ce sont d’énormes quantités de sucreries qui vont être réalisées sur la journée. Au packaging, on suit le rythme des arrivages. C’est impressionnant.

« Ça se présente bien, oui. Regardez par vous-même, on vous montre ici un grand paquet de chiques. Ensuite, on a les spéculoos, les massepains roulés dans du cacao, évidemment. Sinon, ce n’est pas drôle. Et enfin, ici, on a toutes les crêpes. Donc voilà, ça demande une grande organisation quand même », commente Philippine Tallieux, professeur à l’Institut Saint-Louis Waremme. C'est un gros challenge. Tous les hôpitaux pédiatriques de la région, mais également plusieurs associations recevront leur colis surprise ce soir. Les élèves sont motivés. La journée sera longue, mais c’est pour la bonne cause.

Sophie Driesen

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